TÉMOIGNAGE Mes attaques de panique ont été liées au st...

Jo n’avait que 40 ans lorsqu’elle a commencé à développer des symptômes inexpliqués et inhabituels. Les médecins mettent cela sur le compte du stress, mais la vérité est révélée bien trop tard. Alors qu’elle arrive sur ses 40 ans, Jo commence à avoir des crises paniques, des troubles visuels et des maux de tête. Mais lorsqu’elle se rend chez son médecin généraliste, on lui assure qu’il s’agit simplement de réactions au stress. Elle reste alors dans cet état pendant plus de 10 ans, jusqu’à ce qu’elle s’effondre brutalement lors d’une crise, alors qu’elle se trouve chez une tante en 2016. La femme de 52 ans est transportée d’urgence à l’hôpital et ce qu’on lui apprend est dévastateur. Les médecins la renvoient chez elle, mais ses attaques de panique sont liées à une tumeur au cerveauUne tumeur au cerveau. Voilà ce qui cause depuis tant d’années les symptômes dont souffre Jo. &quot;En 2005, je me remettais de la mort de mon père et j’étais partie en vacances avec mon mari, Ivor. Mais quelque chose n’allait pas. Je ne me sentais pas bien&quot;, confie Jo au Sun. Ses symptômes arrivent et s’enchaînent, mais les médecins mettent ça sur le compte du deuil. Alors ils lui prescrivent des anti-dépresseurs. Pourtant, dès son arrivée à l’hôpital, le diagnostic est clair. Jo souffre d’un gliome de grade 3 sur son lobe temporal droit. Après plusieurs examens, un neurologue confirme à la quinquagénaire que sa tumeur avait dû grossir durant ces dix dernières années. Jo apprend que l’opération chirurgicale n’est pas envisageable. La tumeur a été découverte beaucoup trop tard. &quot;On m'a dit que la meilleure chose qu'ils pouvaient faire était d'essayer de la stabiliser et de la garder sous contrôle&quot;, explique-t-elle. Elle est en colère. Et quelque temps plus tard, son mari reçoit un diagnostic de cancer du sang. Jo est alors tellement impressionnée par les soins qu’il reçoit dans son hôpital qu’elle demande à y être transférée. Là-bas, elle subit six semaines de radiothérapie quotidienne puis huit mois de chimiothérapie. La tumeur n’a pas rétréci, mais elle semble aujourd’hui stable. Jo est véritablement déterminée à garder une vision positive de la vie. &quot;Si je peux partager ce qui m'est arrivé et que cela aide quelqu'un d'autre, cela en vaut la peine.&quot;

TÉMOIGNAGE Mes attaques de panique ont été liées au stress durant des années mais la vérité a été découverte trop tard

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